Silicon Valley
Dans la Silicon Valley en Californie, quatre amis programmeurs tentent de se faire une place. L’un d’eux, Richard Hendricks, développe un algorithme de compression des fichiers, que toutes les entreprises vont vouloir s’arracher. Mais il va rapidement se rendre compte qu’il ne suffit pas d’avoir une bonne idée pour réussir…
Richard va devoir gérer le succès inattendu de son programme et le développement de son entreprise, et pour cela il va devoir faire des choix difficiles.
La série nous plonge dans le monde de la Silicon Valley et de ses entreprises de nouvelles technologies, grosses compagnies déjà bien implantées ou start-up naissantes.
Richard travaille au début de la série pour Hooli, une grande entreprise fictive, qui n’est pas sans rappeler Google ou Apple. La série se situe dans le monde de l’informatique, il y a donc des termes techniques, mais cela n’empêche pas de suivre l’intrigue.
A travers Richard et ses collègues Erlich, Gilfoyle, Dinesh et Jared, nous suivons ainsi la création et le développement d’une start-up, entre succès et échecs. Le tout saupoudré d’humour.
C’est une comédie, mais il ne faut pas s’attendre à des blagues toutes les 30 secondes. L’humour provient principalement des situations, des caractères de chacun. Les personnages sont tous un peu bizarres à leur façon, et se retrouvent souvent dans des situations improbables ou embarrassantes. Même dans les moments très sérieux, il y a toujours quelque chose qui fait sourire.
Il m’a fallu plusieurs épisodes avant d’accrocher, mais je trouve que c’est une série plutôt bien écrite, qui gagne en qualité au fil des épisodes. Elle est riche en rebondissements et on ne sait jamais à quoi s’attendre.
Silicon Valley a entamé il y a quelques semaines sa 3ème saison, et a été renouvelée pour une saison 4.